Marketing : Le rapport de la Génération Z à la technologie décrypté

Par Céline Pastezeur - Publié le 23 Mai 2015 à 06:47
Fluidité, liberté, activisme, quelles sont les valeurs clés de la Génération Z en 2020 ?
Si la génération Y commence enfin à se faire comprendre des marketers, la génération qui la suit, alias les Z, est encore pleine de surprises et de mystère pour les professionnels. Heureusement, différentes études commencent à nous en apprendre davantage sur eux et sur leur rapport à la technologie. Et ça se passe par ici !

Vous informer sur le secteur du marketing et de la jeunesse, c’est l’ambition quotidienne d’Air of melty. Dans cette logique, il y a quelques jours, nous vous proposions d’entrer dans l’esprit des moins de 30 ans, afin de toujours mieux comprendre leurs comportements et leurs attentes à l’égard des marques. En début de semaine, nous vous expliquions également que le challenge des marques en 2015 serait de réussir à impressionner les jeunes. Mais pour bien les impressionner, il faut encore mieux les connaitre ! Cela tombe plutot bien, puisque nous vous proposons tout de suite une nouvelle virée dans l’esprit des moins de 30 ans, et plus précisément dans celui des membres de la jeune génération Z ! C’est l’étude “Gen Z and the future of technology”, à découvrir par ici qui vous dira tout ce que vous devez savoir !

Cette étude est l’occasion parfaite de mettre en image (et en chiffre) des tendances dont nous vous parlons régulièrement sur notre site. Parmi elles, on retrouve le fait que les jeunes sont en permanence, ou presque, à proximité d’un écran. La preuve ? Selon l’étude, la génération Z passe pas moins de 25% de sa vie devant des écrans et ce, quelque soit le lieu où elle se trouve (en voiture, à l’école, en marchant, etc.) D’autre part, l’addiction des moins de 20 ans à leur mobile est réelle : aujourd’hui, 79% des jeunes de la génération Z se déclarent stressés dès lors qu’ils sont trop éloignés de leur smartphone ! Enfin, l’étude, relayée par le site Frenchweb, en arrive à la conclusion que “les nouvelles technologies ont modifié les activités des individus et particulièrement les activités sociales. Ils ne flânent plus ensemble dans les parcs, mais sur Facebook. Ils ne discutent plus en face à face mais s’envoient des Snaps. Une montagne de comportements disparait au profit d’actions interactives connectées : on appelle cela le Dark Social”. Un Dark Social qui n’empeche pas l’ennui, comme l’avait montré la tendance du borecore.