Publicité : La génération Y au taquet sur la publicité vidéo native, c’est prouvé !

Par Céline Pastezeur - Publié le 28 Oct 2016 à 10:44
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Entre les jeunes et la publicité, ça ne matche pas toujours de façon évidente. Mais Teads, la première place de marché mondiale de publicité vidéo, pourrait bien avoir trouvé la solution : misez sur la publicité vidéo native !

Génération ad-blockers…mais pas que ! Vous le savez, et on vous le répète régulièrement, les relations entre la jeune génération et la publicité sont clairement compliquées. Toujours plus exigeants que leurs aînés, les moins de 30 ans n’hésitent aucunement à bloquer la publicité en ligne dès lors qu’elle leur semble non pertinente ou trop intrusive. La rédaction d’Air of melty vous le disait en août dernier, 2 jeunes sur 3 sont désormais adeptes d’AdBlockers en 2016. Plus inquiétant encore, un Millennial sur 10 utiliserait désormais un AdBlocker sur mobile et desktop. Un chiffre impressionnant que les professionnels du secteur doivent aujourd’hui prendre en compte et tenter de réduire. En la matière, il y a quelques semaines, Fabernovel Data & Media livrait quelques règles à suivre pour ralentir l’effet AdBlockers, entre pub skippable, optimisation et soin apporté au contenu. Aujourd’hui, c’est Teads qui apporte sa contribution au débat, en étudiant la performance des différents formats publicitaires vidéo au travers de l’analyse des déplacements du regard et de l’intensité des contacts visuels, afin de permettre aux annonceurs de savoir aujourd’hui comment miser sur la vidéo publicitaire, alias LE phénomène tendance de l’année 2016. Alors, verdict ? La publicité native sait encore une fois se faire remarquer !

L’étude signée Teads et réalisée auprès de 115 internautes aux Etats-Unis, révèle, de façon générale, qu’il est « essentiel d’offrir un environnement et un contexte premium à la publicité vidéo. L’engagement et l’attention des internautes sont plus forts lorsqu’ils consultent des sites éditoriaux premium ce qui permet aux annonceurs de bénéficier d’une meilleure qualité d’exposition pour la diffusion de leurs messages de marques ». Ainsi, concrètement, la publicité placée au sein d’articles éditoriaux premium augmente l’intention d’achat de 27 % chez les internautes, ce qui est loin d’être négligeable. Aussi, Teads montre que la vitesse de scroll compte, particulièrement sur les réseaux sociaux, où les utilisateurs font défiler leur écran deux fois plus, diminuant ainsi l’engagement vis-à-vis de la publicité. Une information importante quand on sait que de nombreux jeunes sont ultra actifs sur les réseaux sociaux. Mais, justement, concernant les Millennials, qu’apprend-t-on ? Que « les publicités natives sont mieux mémorisées par la génération Y ». Tiens donc ! En effet, les jeunes, « ayant grandi avec les médias digitaux, sont moins surpris par les publicités natives et ont l’habitude de consommer différents contenus qui se succèdent. La génération Y a 2 fois plus de facilité que les personnes de plus de 40 ans à mémoriser les publicités vidéo natives après exposition ». Voilà l’info clé à retenir !