Facebook : Sentimental, stalker, informateur, les 4 types d’utilisateurs à toucher sur le réseau social

En cette année 2017, année reine du marketing sur les réseaux sociaux, Facebook fait figure d’outil marketing incontournable avec ses 2 milliards d’utilisateurs par mois. Et le phénomène ne devrait pas en rester là puisque la firme de Mark Zuckerberg, qui détient également Instagram et WhatsApp, dévoilait récemment d’autres chiffres qui ont de quoi donner le tournis. A l’heure où le réseau social travaille toujours plus au développement de sa stratégie publicitaire, une étude vient d’être menée par la Brigham Young University auprès de 47 participants âgés de 18 à 32 ans afin de mettre en lumière les principaux profils d’utilisateurs que l’on retrouve sur la plateforme. Car communiquer auprès d’une cible active sur le service, c’est bien, mais bien appréhender cette cible en comprenant ses comportements et ses attentes, c’est encore mieux ! Dans cet état d’esprit, l’enquête menée par l’Université a décrypté 4 profils principaux : les sentimentaux, les stalkers, les informateurs et les narcissiques. Vous êtes prêt pour un focus sur chaque catégorie ? C’est parti !

Comme l’explique le site Phonandroid, qui relaie les résultats de cette enquête, le sentimental, premier profil analysé, se distingue sur Facebook en utilisant le réseau social en vue de « fortifier ses relations avec ses amis et sa famille. Il considère Facebook comme une extension de la vie réelle, au sein de laquelle il peut partager ses pensées, ses sentiments et ses petites histoires ». Résultat, ce dernier partage aisément des vidéos émouvantes et a fortement tendance à commenter ou à réagir à tout ce qui passe sur son fil d’actualité. Ce sont notamment les jeunes mamans qui répondent particulièrement à ce profil, mais pas seulement ! De son côté, le stalker, comme l’indique sa dénomination, « a pour but principal d’espionner sournoisement les autres usagers ». En somme, il publie et partage très peu de contenus sur le réseau social, sans oublier qu’il interagit également rarement avec ses contacts, même s’il se connecte quotidiennement. Il observe plus qu’il n’agit.

L’informateur, lui, se distingue par le fait qu’il partage des contenus dédiés à un cercle qui va au-delà de ses proches. « Il se sent investi d’une mission bien plus importante. Son rôle est d’informer les autres utilisateurs du réseau de tout ce qui se passe sur la planète, en temps réel, et si possible avec un ton alarmiste ». Enfin, à l’heure où un cliché persistant veut que la jeune génération se regarde beaucoup (trop) le nombril, l’étude menée auprès des 18-32 ans confirme aujourd’hui qu’une partie des Millennials se révèle en effet narcissique sur les réseaux sociaux, et notamment Facebook. Concrètement, comme le révèle l’étude, « le narcissique aime attirer l’attention. Chaque pouce bleu apposé à l’une de ses publications lui apporte une satisfaction quasi orgasmique. Tout comme le sentimental, cet utilisateur aime partager des selfies et des pensées intimes, mais il ne le fait pas pour nouer des liens avec ses proches. Son but est de promouvoir sa propre personne. En règle générale, le narcissique est également très actif sur Instagram ». Et oui, après tout, rien de mieux que des selfies pour se mettre en avant. Là, c’est certain, on retrouve bien la jeune génération !