Freedent forme la Génération Z au romantisme 2.0 avec humour
Pour la jeune génération, la drague passe désormais beaucoup par le digital. Tout en cherchant à échapper au wokefishing, cette nouvelle tendance qui perturbe les jeunes sur les applis de dating, les moins de 30 ans sont nombreux à miser sur les applis mobile pour rencontrer l’amour de leur vie ou une jolie aventure d’une nuit (ou plus). Et d’ailleurs, pour les aider à flirter plus facilement en cette période de crise sanitaire et de couvre-feu, happn vient de rendre sa fonctionnalité appel vidéo gratuite de 21h à 6h le temps du couvre-feu. De son côté, dans le cadre de sa nouvelle campagne conçue avec l’agence CLM BBDO, c’est la marque Freedent qui entend venir en aide auprès de la Génération Z pour qu’elle puisse « briller et séduire sur les réseaux de manière plus raffinée grâce à un florilège de punchlines élégantes, traduites en emojis ». La poésie et les phrases romantiques à souhait, c’est en emojis que ça s’exprime aujourd’hui. Mais encore ?
Concrètement, à l’heure où les applications de dating explosent et où la séduction en a pris un sacré coup au niveau du romantisme (coucou les photos trop coquines, les discussions salaces, le ghosting et compagnie) et surtout à l’heure où 91% des adolescents déclarent que le sexe n’est pas le plus important dans une relation (selon une étude Ipsos), Freedent lance « Emojis to Shine », une alternative aux Emojis pêches et aubergines qui respecte les modes d’expression actuels. Concrètement, le compte Instagram @Freedent, entièrement dédié à l’opération, sera alimenté chaque jour avec de nouvelles combinaisons d’emojis. 4 influenceurs partenaires s’associent la campagne en création de contenu sur leurs comptes Instagram : Ben Hpts, DomiiP, Celia Lassey et Aty Vercetti. Un guide papier a aussi été imprimé en édition limitée, une ambition créative de la part de CLM BBDO qui souhaitait prendre le contre-pied de la drague online et virtuelle en proposant un format physique, tangible, réel. Le film lui, sera découpé en capsules et médiatisé sur Facebook et Instagram tout au long de l’opération auprès d’une cible française, hommes/femmes, 15/34 ans.