Marketing : Les 5 défis du futur pour les marques selon Ipsos

Par Céline Pastezeur - Publié le 12 Déc 2014 à 15:17
L’âge du faire est arrivé !
L’année 2014 n’est même pas encore terminée que tous les regards sont tournés vers 2015. Et qu’on se le dise, il y aura du travail ! Les marques devront notamment relever cinq défis, nés de l’âge du faire. Vous ne comprenez pas tout ? Lisez la suite par ici, avec les prédictions pour l’an 2015 !

Air of melty vient de vous en parler, il existe un problème entre les marques et les jeunes. En effet, selon une étude menée par Havas Worldwide, 4 jeunes sur 10 estiment que les marques ne communiquent pas de la bonne manière ou, tout du moins, ne s’adressent pas à eux de la bonne manière. Pour l’année 2014, qui se termine dans un peu plus de deux semaines, il semble difficile de rectifier le tir. Mais pour 2015 ? Et bien pour 2015, les marques vont avoir un travail considérable : en plus de devoir miser davantage sur la pop-culture comme le conseille l’étude d’Havas Worldwide, les marques vont devoir relever les 5 défis du futurs dévoilés par l’institut Ipsos dans le cadre de sa présentation annuelle des tendances ‘Trend Observer 2015 : l’âge du faire’. Si ces 5 défis ne concernent pas spécifiquement les marques communiquant auprès de la génération Y, il est en tout cas clair que ces dernières sont également concernés par ces défis, qui correspondent à 5 besoins de plus en plus affirmés par les consommateurs : la transparence, le besoin de transmission, le partage, le besoin de services et la convivialité.

L’étude dévoilée s’appelle « l’âge du faire » car elle montre que les valeurs montantes chez les Français sont l’imagination ou la créativité et le courage, dans un état d’esprit accordant de plus en plus de place à la débrouille. L’heure est donc à la création, à la co-création, à l’activité ! Dans ce contexte, les 5 défis que doivent affronter dès à présent la plupart des acteurs du monde économique et politique sont : Montrer, être transparent sur le comment, expliquer le pourquoi ; partager, c’est-à-dire transmettre, éduquer aux savoir-faire, favoriser l’apprentissage des techniques de production ; coopérer et faire ensemble ; être utile en rendant service à des consommateurs désireux de faire en leur proposant un accompagnement ; et enfin promouvoir un esprit de communauté, soit réorganiser les structures pour redonner du sens au travail, en brisant les hiérarchies impersonnelles qui empêchent les individus non seulement de se projeter positivement vers l’avenir mais, tout simplement, de comprendre les finalités de leur action. Bon courage, et à l’année prochaine !