La Génération Z n’a qu’une hâte : retourner au bureau !

Après des mois de télétravail, les jeunes ont-ils envie de retrouver leur bureau ou veulent-ils continuer à travailler de chez eux ? À en croire une nouvelle étude, c’est sans appel : la Génération Z n’en peut plus du télétravail !

Alors que l’été vient de débuter et que 56% des jeunes ne pensent pas pouvoir couper avec le travail même pendant leurs congés, le retour d’un certain calme dans la pandémie de Covid-19 pourrait bien signer le retour du plus grand nombre au bureau. En tout cas, désormais, en France, le télétravail n’est plus autant recommandé qu’il ne l’était il y a quelques mois. Et cela semble faire les affaires des (très) jeunes actifs, qui sont nombreux à avoir mal vécu la longue période de télétravail imposée. Comme l’expliquait une étude il y a quelques mois, 66% des membres de la Génération Z luttaient en matière de télétravail. Aujourd’hui, à en croire une nouvelle étude menée au Royaume-Uni, c’est donc sans grande surprise qu’on découvre que la Génération Z est celle qui soutient le plus le retour au bureau ! C’est bien simple, beaucoup n’attendent que ça…

Comme le révèle l’étude menée outre-Manche par Clockwise, en télétravail, 30% des 16-24 ans déclarent être en manque du côté « social » du travail. Ils sont ainsi nombreux à avoir du mal à différencier leur vie privée de leur vie professionnelle en travaillant à la maison. Aussi, ils sont 7 sur 10 à déclarer sentir un sens de la communauté au bureau qui les rend plus productif et qui rend leur environnement de travail plus agréable. Au total, ce sont ainsi 2 jeunes sur 3 qui déclarent préférer depuis le bureau que depuis chez eux. Pour 20%, ce qui rend difficile le télétravail, c’est le manque de motivation. Pour 27%, le fait d’être au bureau les aide à ressentir de l’appartenance à un groupe et à voir le but de leur travail. Pour autant, qu’on se le dise, les jeunes actifs ne prévoient pas de retrouver complètement leur vie d’avant la crise sanitaire : ainsi, seulement 31% des 18-24 ans interrogés affirment avoir l’intention de revenir vivre en ville après la pandémie. Le reste des sondés prévoit de rester en banlieue voir dans des villages situés à proximité des grandes villes.

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