Too Good To Go se lance en TV pour lutter contre le gaspillage alimentaire
En 2022 plus que jamais, la jeune génération semble vouloir miser sur une consommation responsable. Une étude menée en France il y a quelques mois a montré que les Millennials constituent une génération plus verte que leurs aînés, même en amour, où ils recherchent des partenaires qui font preuve du même état d’esprit qu’eux ! La consommation de marques engagées et de produits de seconde main font donc désormais partie du quotidien des moins de 35 ans : tout ce qui est à leur portée pour éviter le moindre gâchis, en somme. Dans ce contexte, nombreux sont les jeunes qui se laissent séduire par l’application Too Good To Go, qui lutte contre le gaspillage alimentaire. Quelques mois après avoir pris la parole via une caméra cachée bien pensée, le service revient sur le devant de la scène avec l’agence de production Atelier B et le réalisateur Julien Lejour via une première campagne vidéo diffusée à la télévision, sur les chaînes hertziennes et sur la TNT. Dans un spot de 20 secondes, on découvre différents personnages qui se font remarquer par le fait qu’ils refusent de voir la moindre nourriture être gaspillée. Pour ces derniers, Too Good To Go s’impose donc comme étant LA solution à adopter au plus vite !
La vidéo se termine par une présentation rapide et efficace de l’appli : « tous les jours et près de chez vous, des milliers de commerçants vous proposent sur notre application des repas à petit prix ». La campagne est diffusée jusqu’au 7 février en télévision et déclinée sur les réseaux sociaux. Pour rappel, co-fondé par Lucie Basch et certifié B-Corp, Too Good To Go est le leader dans la lutte contre le gaspillage alimentaire. À l’heure actuellement, on compte plus de 10,7 millions de téléchargements en France et on estime que l’application a sauvé 33 millions de paniers depuis son lancement, grâce à son réseau de 26 000 commerçants partenaires aux profils variés. Au-delà de cela, Too Good To Go s’engage dans la lutte contre le gaspillage via la signature en janvier 2020 du « pacte sur les dates de consommation », rejoint par 62 acteurs de la filière alimentaire.