Videostep, startup spécialisée dans le native advertising, devient Beevibes

Par Céline Pastezeur - Publié le 09 Jan 2015 à 10:59
Nouveau nom pour 2015 !
L'année 2015 commence par un changement de nom pour Videostep, startup spécialisée dans le native advertising ! Afin de montrer que l'agence ne gère pas que de la vidéo, la startup cofondée par Nicolas Pollet a décidé de se rebaptiser Beevibes, comme l'a appris en exclusivité le Journal du Net.

Hier, Air of melty vous annonçait le lancement officiel de Smak, le tout premier réseau européen d’agences social média créé par KRDS, une société de marketing spécialisée dans les applications et campagnes publicitaires sur Facebook. Vous l’avez vu, la rédaction se tient au courant de toutes les naissances et évolutions d’agences marketing. C’est donc en toute logique que nous vous informons aujourd’hui du fait que l’un des spécialistes français des native ads, Video Step, a décidé de changer de nom pour devenir Beevibes. C’est le Journal du Net qui a annoncé la nouvelle en exclusivité hier, en ajoutant que la start-up a voulu « se départir d’un nom qui ne collait plus avec son nouveau positionnement ». En effet, la start-up, qui propose aux marques de placer leurs contenus, qu’il s’agisse de vidéos, photos, textes ou autres, au sein des zones de contenus de la galaxie de sites éditoriaux qui font partie de son réseau et qui attirent 30 millions de visiteurs uniques par mois selon Beevibes, a voulu s’éloigner d’un nom uniquement focalisé sur la vidéo, puisque l’offre est désormais bien plus conséquente.

Nicolas Pollet, le cofondateur de Seevibes, créé en mai 2011 et qui rémunère les éditeurs au CPM et facture l’annonceur au clic, a déclaré : « Certains annonceurs apprécient VideoStep pour son algorithme de ciblage sémantique et son réseau premium sans pour autant disposer de vidéo. C’est aujourd’hui presque 40% de notre chiffre d’affaires ». Comme l’ajoute le Journal du Net, Nicolas Pollet déplorait également une « confusion fréquente chez les annonceurs et les agences qui pensaient que son activité se limitait au pré-roll, présence du mot ‘vidéo’ oblige ». La startup s’affiche en tout cas plus que jamais dans une logique de native advertising, qui combine technologie et formats innovants. « Nos formats sont 20 fois plus performants que le display traditionnel dans la mesure où c’est l’internaute qui choisit de cliquer, la publicité ne lui est pas imposée », explique ainsi Nicolas Pollet. Lorsqu’il clique sur le contenu, l’utilisateur fait apparaître une box qui contient le contenu qui l’intéresse ainsi que d’autres contenus, éditos ou publicitaires, selon les envies de l’éditeur partenaire ». Et ça, donc, vous l’aurez compris, ça ne concerne pas que la vidéo !