Génération Z vs Baby-Boomers, quelles sont les plus grandes transformations ?
En mars dernier, la rédaction d’Air of melty rendait l’information officielle : la génération Y est désormais succédée par la génération Z, alias les Plurals. Et, qu’on se le dise, celle-ci n’a pas grand chose à voir avec ses aînés ! De plus en plus mobile-only, la génération Z est aussi très axée sur l’amitié digitale, la justice sociale et les communautés, sans oublier qu’elle est adepte (voire reine) de la consommation collaborative. Il y a quelques semaines, nous vous parlions d’une génération Refresh, avec les notions de plaisir, engagement et créativité pour caractériser les 18-25 ans. Si la génération Z ne ressemble pas à ses aînés les Millennials, vous imaginez bien que les différences sont encore plus extrêmes en ce qui concerne la génération des Baby-Boomers. Justement, l’institut McCrindle dévoile aujourd’hui une infographie qui met en lumière toute les caractéristiques qui séparent la jeune génération d’aujourd’hui aux Baby-Boomers. Des prénoms aux étapes de vie, sans oublier les moyens de communication et les façons de l’engager, tout est analysé !
Déjà, sachez que, quand on vous parle des jeunes nés entre 1995 et 2009, alias la génération Z, on peut aussi vous parler de « Global Gen », « iGen », « screenagers », « tweens », « the zeds », « upagers », « zees », ou encore « Cotton Wool Kids », entre autres. Si vous croisez des jeunes garçons, ils s’appelleront probablement William, Jack ou Jacob, contre Lily, Chloe et Isabella pour les jeunes filles. Selon la période de leur vie à laquelle vous les croiserez, vous n’aurez pas seulement affaire à des enfants, adolescents ou adultes, mais à des « tweens », « jeunes adultes », « kippers » ou encore « career-changer » : les étapes de vie pour la génération Z ont changé et ils s’en accommodent parfaitement en s’adaptant très rapidement, comme en atteste le fait que les Z changeront en moyenne 17 fois de travail et 15 fois de domicile dans leur vie. Concernant les méthodes d’engagement, les jeunes sont plus adeptes du visuel, de la logique « try & see » et de process à suivre, tandis que leurs aînés sont plus à l’aise avec le verbal, la logique « sit & listen » et la présentation de contenu. D’autre part, ce qui marque indéniablement la jeune génération, c’est son côté connecté, avec 10 heures et 19 minutes passées par jour à utiliser la technologie, en moyenne. Recherches su Google, vidéos sur YouTube, news consultées sur Facebook et Twitter, toutes leurs habitudes donnent lieu à des chiffres généraux hallucinants, qu’on vous laisse découvrir tout de suite !
