Diesel casse les codes du parfum et mise sur l’authenticité pour la nouvelle campagne Diesel BAD
On vous avait prévenu, et ça se sera confirmé jusqu’au bout, l’été 2016 aura été parfumé ! C’est un fait, la jeune génération constitue une cible privilégiée pour les enseignes spécialisées dans la parfumerie. Plusieurs campagnes ont été l’occasion de vous en parler, de la campagne Ice Breaker Game de Playboy Parfums lancée sur Snapchat à la campagne dévoilée par Playboy Fragrances, s’associant à MNSTR pour booster le pouvoir de séduction de la génération Z, sans oublier M6 Unlimited et Rose Carpet qui ont révélé et réveillé l’esprit urbain tropical des jeunes filles, et So Sweet de Lolita Lempicka qui a enchanté M6 de façon inédite et exclusive. La semaine dernière, les jeunes filles étaient une nouvelle fois la cible d’une campagne, cette fois signée Nina Ricci, inventant un trailer mobile qui ne peut se visionner qu’à deux, pour une expérience au top. Cette semaine, ce sont les jeunes hommes qui sont dans le viseur d’une marque : Diesel, qui, avec l’agence Mazarine, signe une campagne TV, digitale et print qui prend à contre-pied les clichés de la séduction avec un seul mot d’ordre : fini le blabla, la jeune génération veut entendre la vérité, toute la vérité, rien que la vérité.
Comme le présente le communiqué diffusé, Mazarine entend casser les codes du parfum pour la nouvelle campagne Diesel BAD, en laissant de côté l’aspect magique d’une fragrance pour un discours authentique, vrai. « Le film, sur le thème mythique du ‘Si je t’aime, prends garde à toi’, est incarné par le nouvel homme Diesel, l’acteur et mannequin américain Boyd Holbrook (Gone Girl, Narcos). Spontané et imprévisible, le bad boy ne suit que ses propres règles et assume son caractère irrésistiblement rebelle », tout en séduisant une jeune femme qui sait désormais à quoi s’attendre. Depuis le 1er août la campagne fait l’objet d’une très large couverture publicitaire, avec un dispositif multicanal en affichage, TV, presse et digital. Elle est massivement visible en France et dans toute l’Europe. Le film et les contenus exclusifs digitaux, réalisés par Andrew Dominik, réalisateur multi-primé de Chopper ou encore The Assassination of Jesse James, donnent clairement un côté Hollywoodien qui aura de quoi faire rêver le grand public, tout en mettant en lumière un discours authentique et plein de véracité qui devrait trouver écho auprès de la jeune génération, réputée pour être une génération « No Bullshit ». De son côté, le print, visible actuellement en affichage sur 15 000 faces, est shooté par le photographe britannique Alasdair McLellan.