Undiz : L’Undiz Machine mise sur le prêt à consommer grâce à une borne digitale inédite en son genre

Par Céline Pastezeur - Publié le 02 Fév 2015 à 15:36
Bientôt la révolution ?
La boutique test de Toulouse deviendra-t-elle une boutique type de la marque Undiz ? Alors qu'Undiz est déjà connue pour être une marque de sous-vêtements cools, pas chers et multipliant les opérations inédites et toujours très cools à destination des jeunes à travers les villes de France, découvrez aujourd'hui l'expérience digitale inédite que propose la marque aux jeunes consommateurs, toujours plus exigents.

A l’approche de la Saint-Valentin, les marques de sous-vêtements ont tout intérêt à se mettre sur le devant de la scène. Et ça, Undiz l’a visiblement bien compris ! L’an dernier, Air of melty vous avait dévoilé la ligne sportswear d’Undiz, lancée pour séduire les jeunes sportives via une communication online. La filliale d’Etam qui s’adresse spécifiquement aux 15-25 ans avait lancé une campagne digitale auprès de ses 225 000 fans (à l’époque) sur Facebook. Et le digital, la marque, ça la connait. Nous venons tout juste d’en avoir une nouvelle preuve grâce à une opération menée à Toulouse. Alors qu’Undiz est déjà connue pour être une marque de sous-vêtements cools, pas chers et multipliant les opérations inédites et toujours très cools à destination des jeunes à travers les villes de France (on retient notamment les parties de saut à l’élastique à Nantes), c’est aujourd’hui une expérience digitale qu’apporte la marque, afin d’améliorer toujours plus l’expérience client des jeunes. Dans le magasin situé au 26 rue Alsace Lorraine, la marque permet de découvrir et de parcourir les collections depuis une borne digitale, en relation directe avec la réserve.

Sébastien Bismuth, directeur général de l’enseigne (qui appartient au groupe Etam) venu ouvrir la boutique test de Toulouse, a expliqué au journal La Dépêche : « Ce concept est très simple : la cliente arrive en boutique et désire découvrir d’autres articles que ceux exposés sur les 50 m2 de l’enseigne. Elle se rend alors à l’une des quatre bornes digitales de la boutique, fait son choix et envoie la commande en sous-sol par le biais de gros tuyaux. Un système de pneumatique fréquent dans les années 1900 dans les banques, notamment. En sous-sol, une vendeuse réceptionne la commande sur l’application de son smartphone et renvoie l’ensemble par le même biais ». Concrètement, après avoir validé la commande de sous-vêtements, l’article acheté arrive dans une capsule, traversant un tuyau transparent, depuis lequel il est aéropropulsé. Si ça, ça ne ressemble pas à une innovation du futur, au même titre que les baskets futuristes de Retour vers le Futur 2 bientôt commercialisées par Nike, on ne voit pas ce qui peut l’être ! Cette expérience permet aux clients de découvrir les produits en toute facilité, sans déranger le magasin et sans faire appel au personnel. En effet, si l’article réceptionné via la capsule plait, le client n’a plus qu’à passer à la caisse. Si ce n’est pas le cas, il n’a qu’à le remettre dans sa capsule, qui le renvoie alors à la réserve. Avec cette innovation, Undiz, qui vient de lancer une collection capsule (justement ! ) à l’effigie de Bob L’Eponge, a bien compris que les jeunes voulaient vivre des expériences inédites qui les font se sentir uniques et maîtres de leur sélection shopping. Le prêt à consommer, tendance sur laquelle Undiz mise avec cette innovation, convaincra-t-il les jeunes ? Affaire à suivre !