Brioche Pasquier va s’beignet pour séduire les jeunes cet été

Par Céline Pastezeur - Publié le 04 Août 2021 à 07:33
Brioche Pasquier va s’beignet pour séduire les jeunes cet été
Pour séduire les jeunes gourmands cet été, Brioche Pasquier et l'agence Les Gros Mots ont décidé de tout miser sur la douceur et le moelleux du beignet...et sur une campagne d'affichage qui mise sur des phrases qui devraient nous rester en tête !

On le sait, après un hiver et un printemps qui ont été marqués par les restrictions en tout genre, la jeune génération entend miser sur un été 2021 libéré et insouciant. Cela vaut sur le plan amoureux mais cela vaut aussi pour l’ambiance générale de la période estivale, sans aucun doute. Ces derniers mois, les Z et les Millennials ont largement favorisé les campagnes de communication légères et les marques misant sur la positivité. C’est pourquoi, cet été, pour séduire cette cible, Brioche Pasquier a choisi de miser sur une campagne d’affichage amusante et gourmande, pour faire saliver la jeune génération : cette année, la marque de brioche mise tout sur le beignet et sur des phrases d’accroche qui promettent de rester en tête…

En cet été 2021, Brioche Pasquier, accompagné de l’agence Les Gros Mots, a choisi de déployer une campagne d’affichage grand format pour mettre en avant trois nouveaux parfums pour ses beignets : chocolat, pomme et framboise. Au programme du dispositif censé toucher avant tout les 12-25 ans (mais pas que), un plan d’affichage avec des visuels en 2m², 12m² et 24m² sur plus de 320 faces qui étaient placés en gare tout au long du mois de juillet. L’idée étant de faire varier les accroches, selon les lieux d’affichage. Et de jouer sur les mots et sur les clichés régionaux pour faire sourire les consommateurs. En gare de Marseille donc, l’annonceur et l’agence Les Gros Mots ont interpellé le grand public avec la phrase « Pas de chichi, place aux beignets ». En gare de Rennes, les passants ont pu découvrir cette phrase : « Ils ont des chapeaux ronds, vive les beignets ». Et du côté de Toulouse, un débat sans fin a été relancé d’une nouvelle manière : « Ici, on dit beignetine ou beignet ? ».