Burger King surfe sur l’esprit d’Halloween 2019 avec une campagne paranormale
En ce mois d’octobre 2019, s’il y a bien un sujet qui inspire les marques, c’est clairement Halloween. De Skittles, avec son conte pour enfants revisité, à Fanta, avec son Fanta Dark Challenge en passant par la nouvelle campagne d’Haribo qui invente des histoires gourmandes, les marques jouent à se faire peur et, surtout, à faire peur (en douceur) à leurs jeunes clients. Et elles ont parfaitement raison de le faire puisque plus d’un Millennial Français sur deux déclare aimer Halloween, selon une récente YouGov. Dans ce contexte, c’est assez logiquement que l’enseigne de restauration rapide Burger King se fait aujourd’hui remarquer en surfant à son tour sur l’esprit d’Halloween. Pour annoncer l’arrivée de son nouveau burger inédit, le « Ghost Whopper », la marque, qui fait partie des marques préférées des Millennials en matière de restauration, a présenté une campagne très axée sur la carte du paranormal.
Comme l’explique le site La Réclame, qui relaie la campagne, « la campagne appelée le ‘spirit taste test’ (le test de goût des esprits en français) met en scène un célèbre médium, Riz Mirza, qui réalise une séance de channeling : une méthode pour ‘louer’ son corps à un esprit comme Whoopi Goldberg dans Ghost ». La scène se déroule dans un endroit mythique, à savoir le hall principal de l’Alexandrie Hotel de Los Angeles, fermé en 1930 pour activité paranormale. En pratique, on voit tour à tour les esprits goûter le nouveau burger de Burger King et donner leurs impressions. Grâce à cela, le burger en question devient le tout premier au monde à être validé par 11 personnes sur 10. De quoi bien montrer que, en cette période d’Halloween, humour et horreur font plus que jamais bon ménage ! D’ailleurs, l’enseigne l’avait également bien montré le mois dernier en intégrant un message très subtile et très drôle à la fin de la diffusion du nouveau volet du film « Ca » au cinéma en Allemagne : à la fin du long-métrage, Burger King avait publié un message sur l’écran pour expliquer que la leçon à tirer de cette histoire est qu’il ne faut pas faire confiance aux clowns…et donc notamment pas à celui de McDonald’s.