Freenow raccompagne les jeunes fêtards avec une campagne drôle…et surtout un bon plan !

Depuis plusieurs semaines déjà, les Français profitent d’un retour à une certaine normalité après un hiver et un printemps placés sous les signe des restrictions en tout genre et des confinements. Et c’est particulièrement vrai pour la jeune génération, qui s’est grandement sentie isolée pendant la crise sanitaire. Désormais, les 18-30 ans savourent le retour de leur vie sociale, avec des soirées de nouveau passées au restaurant, dans les bars ou encore dans les clubs. Justement, à ce sujet, une récente étude menée par YouGov a montré que les Millennials français étaient ceux qui attendaient avec le plus d’impatience la réouverture des boîtes de nuit. Ainsi, 38% des 18-24 ans et 33% des 25-34 ans affirmaient avoir l’intention d’en pousser les portes le plus vite possible, contre 15% de l’ensemble des Français. Pour fêter ça et, surtout, pour s’assurer que chaque fêtard rentrera en toute sécurité chez lui à l’aube, la plateforme de mobilité multimodale Freenow a décidé de prendre la parole avec une campagne offline simple et ingénieuse à la fois…

Concrètement, Freenow, déjà partenaire de plusieurs boîtes de nuit et soirées parisiennes, a choisi de prendre la parole à l’occasion de la dernière étape du déconfinement et de la réouverture enfin effective des clubs pour continuer à s’ancrer dans le quotidien des urbains. En résulte une campagne d’affichage inédite. Comme le révèle le communiqué diffusé, le soir de la réouverture des boîtes de nuit, Freenow s’est invité sur les grilles de métro fermées en y accrochant de grandes affiches qui proposaient à tous les fêtards de rentrer chez eux gratuitement en voiture grâce à un code promotionnel. Pour que son message soit bien entendu par la jeune génération, Freenow a misé sur des accroches drôles et ciblées qui s’adressent spécifiquement à une jeune génération pour qui sortir est facile…mais pour qui rentrer l’est moins. Parmi les phrases concoctées par l’application de VTC et l’agence ROSA PARIS, « Comme dans toute bonne soirée, il faut un code pour rentrer ». Mais pour rentrer chez soi cette fois !