Ikéa recrée le lien entre parents et ados avec humour et douceur

Par Céline Pastezeur - Publié le 05 Nov 2019 à 10:38
Ikéa recrée le lien entre parents et ados avec humour et douceur
En grandissant, les jeunes tendent à s'éloigner quelque peu de leurs parents. Aujourd'hui, dans sa nouvelle campagne, Ikea remet de l'amour et de la complicité dans les familles grâce à des cuisines bien équipées et des mensonges bien pensés...

Que ce soit en matière d’environnement ou en matière de relations familiales, Ikea s’engage en cette année 2019 à améliorer nos vies ! Il y a quelques semaines, une campagne internationale signée Ikea libérait un monstre pour inciter le grand public à respecter davantage la planète. Aujourd’hui, l’enseigne qui a cherché à se faire une place de choix auprès des Millennials en recréant le décor des appartements de séries les plus populaires revient sur le devant de la scène avec une nouvelle campagne qui entend allier émotions et praticité. En ligne de mire de cette nouvelle campagne ? Les adolescents et leurs parents. Une volonté affichée : renouer le lien entre les adultes et les plus jeunes. Mais de quelle manière au juste ? C’est simple : grâce à la cuisine et un peu d’imagination.

Comme l’explique le communiqué diffusé par Ikea, « l’adolescence est une période charnière où les relations entre parents et ado se distendent. Les amis et l’ultra-connexion prennent souvent le pas sur le quotidien, au détriment de moments précieux qu’ils pourraient passer avec leurs proches. Voilà pourquoi IKEA invite les familles à faire une pause et à prendre le temps de se reconnecter entre générations, autour de la cuisine ». En pratique, dans son nouveau film, réalisé par Ben Liam Jones, l’enseigne suédoise met en scène un père qui redouble d’imagination pour tenter de passer du temps avec son fils et re-tisser du lien. Grâce à ses solutions d’aménagement conviviales et fonctionnelles mais aussi et surtout grâce à un gros mensonge, la cuisine devient alors un vrai terrain de jeu qui devrait raviver cette complicité perdue…