Le « secret le plus embarrassant » (et technologique) de la génération Y dévoilé !
Comprendre la jeune génération, c’est parfois une mission presque impossible. Les moins de 30 ans, accro aux écrans de toute sorte, sont ultra actifs et ultra réactifs. Ce qui fait que leurs centres d’intérêt comme leurs usages évoluent rapidement au quotidien. Pour vous aider à mieux cerner les priorités de la fameuse génération Y, la rédaction d’Air of melty vous a récemment dévoilé une étude montrant comment les jeunes dépensent leur argent, entre mode, food, jeux vidéo ou encore sorties. Nous vous avions aussi dit ce que veulent vraiment les moins de 35 ans au quotidien en matière de marketing. Aujourd’hui, tenez-vous prêts, nous allons encore plus loin dans la connaissance de la jeune génération, puisque nous nous apprêtons à vous dévoiler « son secret le plus embarrassant », lié à l’usage de la technologie et mis en lumière cette semaine par le titre américain Time et la journaliste Martha C. White. Le verdict, c’est par ici.
Pour la journaliste américaine, « aujourd’hui, le manque de prouesse technologique des jeunes coûte beaucoup de temps à leurs employeurs. Oui, vous avez bien lu. En dépit du fait que les jeunes grandissent avec Internet à portée de main, les si bien nommés ‘Digital Natives’ font face à un fossé grandissant en termes de connaissances, qui n’apparaît que quand ils arrivent en entreprise ». En fait, si les jeunes sont très ouverts et très réactifs en matière d’innovation et témoignent d’une grande connaissance à l’égard de tous les outils de communication à la mode, ils maîtrisent nettement moins bien les outils plus basiques, comme l’envoi de mails ou les tableaux Excel par exemple. Selon des chercheurs, les jeunes ne sauraient pas non plus mener correctement des recherches sur Google, pour 23 sondés sur 30 ! Ces différents problèmes coûteraient la somme totale de 575 milliards de dollars aux entreprises américaines. La conclusion de cette étude ? « La génération Y doit faire un pas en arrière, pour apprendre à utiliser plus de technologies moins avancées au bureau qu’ils ne peuvent le faire dans leur vie personnelle ». Ou alors, peut-être que les entreprises peuvent aussi s’essayer à l’innovation, non ?