Les Millennials, une génération qui fait des listes pour tout !

Par Céline Pastezeur - Publié le 02 Avr 2019 à 10:04
Quel type de contenu de marque attendent les Millennials et les Z en 2021 ?
La folie des listes, vous connaissez ? C'est visiblement un "mal" qui touche particulièrement la jeune génération, comme l'a récemment expliqué Perrine Signoret, elle-même membre de la fameuse génération Y, sur le site Numerama. Focus.

Vous le savez, au quotidien, la mission que se donne la rédaction d’Air of melty, c’est de vous aider à mieux toucher la jeune génération, à savoir les fameux 18-35 ans. De manière générale, cela passe par des conseils en matière de communication et de stratégie marketing. Dans ce contexte, il y a quelques jours, à l’heure où 8 Millennials sur 10 révèlent que leur consommation est impactée par le discours des influenceurs, nous vous dévoilions 3 conseils pour bien miser sur le marketing d’influence. Aussi, nous vous avons dévoilé 4 clés pour bien miser sur le marketing expérientiel et mieux toucher les Milennials. Mais, pour pouvoir mieux toucher les moins de 30 ans, il faut aussi bien mes connaître. Et, en cela, il y a peut-être un élément de leur quotidien qui vous a échappé : connaissiez-vous l’amour des Millennials pour les listes en tout genre ? Wishlist, liste de choses à faire ou à acheter, liste de plats ou d’activités à tester, il y en a pour tous les goûts…et pour tout le monde !

C’est ce que révèle le site Numerama en ce printemps 2019, au travers d’un article rédigé par Perrine Signoret, membre de la fameuse génération Y. « Sur l’application « notes » de mon smartphone, j’ai 14 listes. Une wishlist de choses que je pourrais demander à mon prochain anniversaire, une pour les livres que j’ai lus, une pour les films que j’aimerais voir, les idées cadeaux pour mes proches, les choses à faire ce mois-ci, les choses à faire un jour mais que j’ai déjà trop repoussées… (…) Au fur et à mesure de cette enquête, j’ai réalisé combien cette habitude de tout « classer » était courante auprès des gens de ma génération. « Aidés » par une pléthore d’outils numériques qui se vantent de nous faciliter l’existence, nous nous créons parfois de nouveaux besoins et obsessions ». Pour certains jeunes, c’est simple, si on ne fait pas de liste, on ne fait pas tout court. De manière générale, les listes ont un côté rassurant, elles encadrent les comportements des jeunes. « Le problème est que parfois, les listes peuvent virer à l’obsession. Elles deviennent alors source de pression, et une véritable charge mentale — quelque chose que l’on garde dans un coin de sa tête en permanence ». En effet, si les listes stimulent, elles rappellent aussi systématiquement que les jeunes ont tout le temps quelque chose à faire, provoquant alors une certaine obsession de la productivité. Et vous, vous êtes adepte des listes ?