Marketing : Les jeunes sensibles aux imprimés publicitaires, la séduction ne passe pas forcément par le digital !

Par Céline Pastezeur - Publié le 03 Oct 2014 à 09:30
L’imprimé pub à privilégier !
Nous sommes les premiers à vous le dire sur Air of melty : pour séduire les jeunes, les marques doivent miser sur le digital, et plus particulièrement sur le mobile. Mais pas seulement ! Une étude BALmétrie sur l’audience du média courrier vient de montrer que les élèves et étudiants étaient des cibles de choix pour les imprimés publicitaires. Tous les détails par ici !
Les jeunes et le mobile, une grande histoire !
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Hier, Air of melty vous révélait que l’image était au cœur des attentes de la génération Y en matière de marketing mobile, forçant les marques à s’adapter. Cela fait déjà plusieurs mois que nous vous répétons de toutes les manières possibles que le marketing sur mobile constitue l’une des clés du succès pour s’adresser aux jeunes et les engager, à l’heure où ils considèrent leur mobile comme étant tout aussi important que leur brosse à dent ou leur déodorant. Mais si le digital occupe une place prédominante dans la vie des jeunes, qui sollicitent notamment de plus en plus les coupons digitaux et les publicités vidéo, il convient de rappeler que la publicité offline continue à les séduire ! Nous vous avions déjà fait savoir en début d’année que les moins de 35 ans sont, semble-t-il, plus réceptifs aux affiches publicitaires que les adultes. C’est fort de cette popularité que Studiocanal vient d’ailleurs de lancer une opération séduction interactive auprès des jeunes filles pour promouvoir le film Lou, Journal Infime, grâce à des affiches publicitaires très spéciales. Et bien, qu’on se le dise, les jeunes ne sont pas seulement sensibles aux grandes affiches présentes dans la rue : ils affectionnent aussi les imprimés publicitaires !

En tout cas, selon l’étude BALmétrie sur l’audience du média courrier décryptée par Mediapost, 62 % des élèves et étudiants lisent au moins un imprimé publicitaire chaque semaine. Une cible qui représente plus de 4 millions d’individus, particulièrement sensibles aux imprimés publicitaires. Ce sont donc 2,7 millions d’élèves et étudiants qui lisent au moins un imprimé publicitaire en moyenne chaque semaine. Cette deuxième vague de l’étude BALmétrie confirme la puissance et l’étendue de l’audience du média courrier, avec 96 % de lecteurs sur une semaine moyenne. Les secteurs les plus concernés par ce type de publicités sont la grande distribution (lus par 45 % d’entre eux en moyenne chaque semaine), l’ameublement et la décoration (17 %), le bricolage et le jardin (15 %), les vêtements et la mode (lus par 11 % d’entre eux), et le sport (9 %). Par ailleurs, ces élèves et étudiants lisent en moyenne 4 imprimés publicitaires par semaine. Comme quoi, il n’y a pas que le digital dans la vie !