Don’t Call Me Jennyfer rembourse ses clients à 100%

C’est un fait, la période hivernale s’annonce assez pesante du point de vue des dépenses. On le voit depuis plusieurs mois, les jeunes Français se montrent inquiets de l’augmentation du coût de la vie. Energie, alimentation, transport, les prix semblent augmenter de tous les côtés. Dans ce contexte, la marque de mode Don’t Call Me Jennyfer met tout en oeuvre ces derniers temps pour offrir des bons plans intéressants à ses jeunes clientes, qui disposent d’un budget mode (parfois très) limité. Après avoir proposé un « braqu-âge » inédit à la jeune génération pour la rentrée 2022, Don’t Call Me Jennyfer revient avec une nouvelle opération baptisée « 100% stylé.e, 100% remboursé.e » qui promet ni plus ni moins de rembourser les achats de ses clients, du 21 octobre au 6 novembre. Un remboursement qui concerne « des centaines de produits » et qui prend la forme de bons d’achat. Tout bon pour séduire la jeune génération accro aux bons plans ?

Comme l’explique le communiqué diffusé, du 21 octobre au 6 novembre 2022, l’offre « 100% remboursé.e, 100% stylé.e » débarque dans les 230 magasins Don’t Call Me Jennyfer en France. Dès lors que la cliente choisit des produits figurants dans cette offre, ils lui sont remboursés à 100% en bon d’achat. Le but est simple de cette opération est simple : « permettre à toutes les étudiantes d’être toujours stylées malgré le contexte inflationniste ». En d’autres termes, la marque lutte à sa manière contre la précarité étudiante en permettant aux jeunes de se faire plaisir en matière de mode malgré un contexte économique pesant et angoissant. Chloé Ortiz, directrice de Don’t Call Me Jennyfer souligne : « C’est une manière pour nous de prendre la parole avec force et de redonner du pouvoir d’achat aux jeunes au moment où ils en ont vraiment besoin ». Au travers de cette campagne, Don’t Call Me Jennyfer, qui cherchait il y a quelques mois à transmettre de la force à la jeune génération sur tous les fronts, montre une nouvelle fois qu’elle a compris les attentes en matière d’engagement des moins de 30 ans.