Uber Eats dédramatise les commandes avec sa campagne « ça arrive »
C’est un fait, pour la jeune génération, se faire plaisir à table, c’est important. Une récente étude menée sur le budget des jeunes a notamment montré que le secteur food constitue le poste de dépenses le plus conséquent chaque mois pour les moins de 25 ans. Et si 6 jeunes sur 10 considèrent qu’ils assurent en cuisine, ils sont aussi nombreux à miser sur les plateformes de livraison de repas à domicile pour bien manger semaine après semaine. En la matière, Uber Eats, qui s’est fait remarquer lors du SuperBowl 2022, fait indéniablement partie de leurs plateformes préférées. Et cela promet de rester une réalité, notamment grâce à une nouvelle campagne de communication qui veut être au plus près de la vie quotidienne des jeunes gourmands. Après sa très célèbre campagne « Parlons Bouffe », Uber Eats dévoile « Ça arrive », pour montrer qu’il y a toujours une bonne raison de commander un bon plat et que ça n’est pas grave, bien au contraire… Surtout pour l’entreprise qui vous livre !
En pratique, la campagne « Ça arrive » passe par 7 vidéos qui relatent 7 situations humoristiques qui mènent à des bons plats livrés par Uber Eats. L’agence Buzzman, qui était déjà à l’origine de l’ancienne plateforme de marque et qui est généralement spécialisée dans les campagnes de communication légères et quelque peu insolentes, met cette fois-ci en scène les mensonges et parfois même la mauvaise foi dont on peut faire preuve lorsqu’on n’assume pas d’avoir (encore) commandé. Et oui, parce que certains prennent vite la bonne (ou mauvaise, pour ceux et celles qui vivent avec eux) habitude de commander à manger dès qu’ils ne savent pas trop quoi faire en cuisine ou qu’ils ne veulent pas faire trop d’effort. Désormais, plus la peine de s’inventer des talents de chef étoilé ou des amis imaginaire, d’accuser son chien d’avoir commandé, de prétexter récupérer ses affaires chez un ex ou encore de mentir à son voisin, puisque commander Uber Eats, « Ça arrive ». Et bien plus souvent qu’on ne le pense !