Swile lance la campagne (et la carte) la plus inutile du moment

Depuis plusieurs mois, la rédaction d’Air of melty vous en parle, la jeune génération réclame de la positivité aux marques. Alors que le climat général est plutôt pesant et déprimant à cause des différentes restrictions en place, les jeunes consommateurs apprécient les campagnes de communication décalées et légères qui leur donnent le sourire. En la matière, la fintech Swile vient de dévoiler une opération de communication qui devrait avoir tout bon : comme elle l’affiche elle-même dans les plus grandes villes de France, elle vient de sortir la carte la plus inutile du moment, ni plus ni moins, et elle l’assume parfaitement. Comment cela ? Alors que les jeunes Français sont en manque de restaurants, de cinémas, de théâtres ou encore de magasins, la Swile Card s’utilise justement dans tous ces endroits, actuellement inacessibles donc. En cela, disposer de la Swile Card à l’heure actuelle ne mènera nulle part ou presque. Et pourtant, c’est dans ce contexte qu’elle fait son grand lancement !

Comme l’explique le communiqué diffusé par la fintech Swile, au lieu d’attendre indéfiniment « le bon moment », la marque a décidé de se lancer en dépit du contexte et de communiquer en toute transparence sur cette carte qui regroupe tous les avantages des employés : titres-restaurant, cadeaux, mobilité, ou encore vacances, sans oublier l’argent personnel. C’est avec l’agence de publicité Steve que la campagne a été créé. Diffusée du 26 avril au 11 mai prochain, Swile réalise donc avec l’agence Remind Phd une campagne d’affichage (5 570 faces en affichage extérieur, bus, métro et gares) dans cinq grandes villes en France, en annonçant fièrement le lancement de « la carte la plus inutile du moment », acceptée dans tous les restos, les commerces, les cinémas, les théâtres et même les salles de sport. Un sens du timing particulier mais qui devrait avoir le mérite de marquer les esprits ! Ce dispositif est complété par une campagne dans la PQR (La Provence, Sud-Ouest et Ouest-France) ainsi que par un dispositif digital et social.