Transparence, Zillennials, éthique, les pistes pour bien communiquer auprès de la Génération Z

Par Céline Pastezeur - Publié le 21 Jan 2019 à 12:08
Mode, beauté, sport, quelles sont les marques préférées de la Génération Z en 2021 ?
Génération Y ou Génération Z, pas le même profil ni la même manière de communiquer ! En cette année 2019, les marques doivent savoir comment s'adresser aux 15-24 ans. Pour les aider, quelques conseils pratiques viennent d'être dévoilés.

Entre Génération Z et Génération Y, vous ne savez plus où donner de la tête ? Pas de panique, la rédaction d’Air of melty est là pour vous aider à y voir plus clair. Concernant la génération Y, aussi appelée Millennials, nous vous faisions savoir il y a quelques jours que Millennials et influenceurs constituent un duo toujours plus efficace en 2019. Concernant leurs successeurs, il y a quelques mois, nous vous expliquions que la Génération Z pouvait être séduite par les promotions. Mais cela ne suffit pas pour communiquer de la bonne façon auprès de cette cible. Clairement, en cette année 2019, les moins de 25 ans ont des attentes très précises envers les marques. On vous l’a déjà dit à plusieurs reprises, la jeune génération est plus engagée que jamais, et elle attend dès lors des marques qu’elle consomme qu’elles en fassent autant, que cela soit sur le plan environnemental ou sociétal. En cela, les marques doivent être aussi éthiques que possibles en 2019. Et, selon le site L’ADN, pas moins de 5 autres exigences s’ajoutent à celle-ci pour bien parler à la Génération Z. Découvrez-les tout de suite.

Comme l’explique L’ADN, en cette nouvelle année, il est capital de comprendre que « le Zillennial n’existe pas ». Kézako ? « Considérer les Zillennials comme une seule et même cible serait une erreur ». Si les Z constituent et se réalisent en effet en communauté, ils vivent en réalité au travers de plusieurs groupes qui ne se mélangent et ne se confondent pas facilement. « À chaque groupe ses usages, ses consommations et ses codes. Un seul et même individu peut ainsi avoir différentes typologies de consommation au même moment de sa vie. Il faut donc créer des micro-espaces dédiés à chaque groupe, pour que la communauté, et donc l’individu, puisse échanger et s’approprier les propos de la marque ». Par ailleurs, pour marquer des points auprès de cette cible, les marques doivent permettre aux Z de laisser leurs talents s’exprimer, à l’heure où les réseaux sociaux leur donnent plus que jamais la chance de s’exprimer. On parle donc ici de possibilités de co-création, avec des marques qui peuvent proposer des projets aux jeunes qui leur permettent de mettre en avant leur créativité et leur talent quel qu’il soit.

Dans le même esprit, les marques doivent aussi encourager la confiance en soi. « Encore étudiants pour la plupart, les Zillennials ont confiance en leurs capacités. Ils savent ce qu’ils veulent et attendent des marques qu’elles les aident à avancer. À la manière des enseignes de sport, il est important d’encourager leurs initiatives et les aider à se révéler. La puissance de cette cible est dans son envie d’aller plus loin ». Enfin, plus que jamais, il faut que les marques fassent preuve de transparence en matière de publicité. Il faut le savoir, en cette année 2019, la jeune génération est globalement prête à accepter la publicité…à condition que celle-ci soit assumée. Qu’il s’agisse d’un placement de produit ou d’un contenu sponsorisé, la publicité doit être révélée de façon claire au jeune. Et cela sans pour autant lui donner l’impression de venir perturber son activité en ligne. Aujourd’hui, la publicité doit aussi être présente sans être intrusive. Présente et surtout utile : « Autodidacte et en recherche d’émancipation, la génération Z ne se réfère pas à ses parents. Les tutos sont légion et YouTube est un point de ralliement. Comment s’habiller, se maquiller, débloquer les niveaux du dernier jeu vidéo, cuisiner pour ses amis… il existe forcément un tuto adapté à chaque question posée par ces jeunes. Pour les marques, l’enjeu est de répondre à ces questions. Et donc d’intégrer leur quotidien pour prendre part à leur apprentissage ». Au travail !